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Pour partir en voyage juste à côté de chez soi et vivre une belle aventure, l’itinérance à pied s’avère être une belle option !

C’est la première partie du GR®10, classique d’une grande itinérance qui permet de traverser les Pyrénées de l’Océan Atlantique à la Mer Méditerranée, que cet ouvrage vous propose de revisiter. Nous traverserons les montagnes du Pays-Basque et du Béarn en 13 étapes entre la grande plage d’Hendaye et le Col du Soulor.Une véritable évasion renforcée par la richesse et la diversité des paysages parcourus. Partir en autonomie permet de redécouvrir des endroits parfois connus sous un autre angle. Trouver de beaux spots de bivouacs pour être témoinsdes plus belles ambiances rencontrées en montagne, devient un véritable leitmotiv quotidien.En les suivant étape par étape, Cécile Munsch et Peio Gaillard vous offriront le récit de leur voyage en vous livrant les clés d’une aventure réussie. Laissez-vous guider !

Au fil des jours, les Pyrénées se dévoilent dans leurs belles lumières. Avec justesse et poésie, les couleurs se posent délicatement sur le papier. De page en page, Béatrice et ses pinceaux invitent au voyage à travers ses aquarelles.

Béatrice Dussarps, catalane de naissance et béarnaise d'adoption, pratique tôt le dessin, accompagnée d'une mère professeure de peinture. D'exposition en en exposition, ses talents se déploient à travers différentes techniques : les encres, la gravure et l'aquarelle. Grande amatrice des Pyrénées, l'univers de Béatrice est d'une grande finesse et sensibilité. 

Voici le nouveau calendrier "Animaux sauvages des Pyrénées", avec les magnifiques photos de faune d'Alain Victor.

Vous avez adoré le tome 1 de notre guide " 25 balades autour de Pau ", découvrez le tome 2 avec 25 nouveaux circuits proche de Pau, des chemins adaptés aux enfants avec des défis pour rendre les sorties plus ludiques ! Un livre de Raymond Ratio.

La complicité entre un écrivain et un photographe, tous deux amoureux des multiples facettes du bassin d’Arcachon, offre dans ce livre un point de vue volontairement différent, et donc complémentaire, de celui des nombreux ouvrages et guides touristiques publiés à ce jour. Sous l’œil avisé du Bassinayre, c’est une balade hors des sentiers battus qui emmène le lecteur à travers la forêt sauvage, riche de ses traditions, aux flancs de la dune muette, forte de sa légende, et jusqu’aux rives du bord de mer, plus touristiques. Un récit intime et poétique, enrichi de photographies parfois insolites et surprenantes, qui fixent avant tout l’immuable, le Bassin éternel et ses hôtes, entre pins et mer, sel et résine, sable et vase, écailles d’huître et ciel de nacre… Ces photos, archives de l’âme, resteront ainsi dans la mémoire collective, en souvenir d’un inestimable patrimoine forestier en partie réduit en cendres durant l’été 2022.

Entre le 15 décembre 1968 et le 27 décembre 1980, en très exactement douze ans, neuf cargos et pétroliers, ayant souvent Bayonne comme port de départ ou de destination, ont fait naufrage le long de la côte basco-landaise. Une série noire impressionnante et d’autant plus extraordinaire que l’on parle ici de navires modernes en acier, dotés de machines puissantes et d’instruments de navigation performants. Tempêtes monstrueuses, sauvetages héroïques, histoires d’hommes, parfois dramatiques, le tout saupoudré d’anecdotes régionales cocasses, ce livre, illustré de superbes photographies, retrace les circonstances de ces neufs naufrages, la ferveur qui s’est emparée de la population locale, le destin parfois tragique de ces grands navires, devenus gisants de la plage.

Hossegor est née d'un mariage entre l'homme et la nature, dans un de ces endroits si particuliers, où les éléments se rencontrent. Pendant longtemps, son histoire se confond à peu de chose près avec celle de sa voisine Capbreton, et avec le destin de ce territoire singulier que fut le triangle des Landes. Il faut attendre la fin du XIXème siècle pour qu'elle s'émancipe. Imaginée alors comme une cité-parc, par les esprits brillants qui s'y établissent, elle s'inscrit au XXème siècle comme une ville à part, faite d'élégance, et dont les artistes célèbrent l'architecture, autant que la nature, préservée. À la fin du millénaire, ses vagues, fruits des abysses et des fureurs océanes, la consacrent dans le monde comme destination majeure d'un sport naissant : le surf.

Voici donc la somme improbable de ce que les hasards de l'histoire ont engendré, au gré des vents, des caprices du temps et des eaux. Voici Hossegor.

A Hossegor, l’Océan a courtisé l’Adour, de cette amourette est né le Lac d’Hossegor. Les travaux de creusement du canal reliant le lac à la jonction entre le port et le chenal de sortie commence en 1875. La grande affaire du lac c’est l’ostréiculture. Celle-ci débute dès que le lac devient marin avec le percement du canal.

La côte gasconne ne laisse pas insensible les peintres et les écrivains qui goutent parfois la douceur de l’hiver en se dirigeant vers Biarritz. Ils la découvrent également à l’occasion d’un voyage vers les eaux thermales des Pyrénées ou vers l’Espagne. Il fallait à Hossegor un artiste pour naître au monde. Elle en a eu plusieurs. Le premier d’entre eux fut Rosny jeune, académicien Goncourt, bientôt rejoint par d’autres écrivains : Maxime Leroy, Maurice Martin, Paul Marguerite … Ces artistes consacrent à Hossegor des textes, des vers… ce faisant ils participent à la promotion du site. La publicité est faite, il ne reste plus qu’à valoriser le site par quelques infrastructures. En 1911, la Société Foncière d’Hossegor et du littoral signe une convention pour la construction d’une ville nouvelle et d’un pont sur le canal. Parmi toutes ces réalisations les plus emblématiques sont le Sporting, le golf et le front de mer.

Le surf arrive à Biarritz en 1956, quatre ans plus tard à Hossegor avec notamment les premiers californiens venus découvrir les spots. Hossegor abrite un type de vague correspondant à son environnement, les beach break. Les années 1980 sonnent la démocratisation du surf. Cela devient un atout touristique majeur et au-delà de cet aspect touristique, c’est aussi la naissance d’un nouveau secteur d’activité économique : le surf business.

Les Landes ont une histoire à l’image de son nom, plurielle, comme celle des nombreux « pays » qui les constituent ou comme les multiples mues paysagères que ce département connut. Son histoire est celle de populations qui n’ont cessé de conquérir leurs propres terres, les modelant, les « mettant en valeur » selon leurs besoins ou ceux d’une élite politique ou économique. Cette Petite histoire des Landes raconte celle d’un « peuple » à l’étonnante faculté d’adaptation face aux diverses et nombreuses transformations que peu de territoires français vécurent, façonnant ainsi une histoire beaucoup plus riche et nuancée que celle qui lui fut longtemps associée.

La Carte Essentielle est un guide urbain créatif qui se présente sous la forme d?un guide pliable. Il vous invite à découvrir la ville à travers une série de cartes et d?illustrations dans un esprit ludique et esthétique. Contient : une carte illustrée et annotée de Bordeaux ; un plan piéton du centre-ville ; une carte illustrée des quartiers et monuments bordelais ; une illustration cartographiée des quais de Garonne ; un glossaire illustré.La Carte Essentielle est un guide amoureux de la ville, elle a été inventée, fabriquée et imprimée à Bordeaux. Ce guide est illustré à la main. Il ne contient aucune publicité !

Au-delà des clichés éculés, Adrien BASSE-CATHALINAT, photographe, et Jean-Baptiste MAUDET, géographe et romancier, cherchent à saisir dans cet album ce qui fait l’âme du Béarn, un pays qui a su garder intact de nombreux savoir-faire et renouveler l’esprit de certaines traditions. Chemin faisant, ils nous invitent à goûter aux richesses de la terre, aux plaisirs des saisons, à la poésie, à recevoir les lumières du Béarn dans ce qu’elles ont d’universel et d’unique. Les troupeaux, l’herbe nourricière, les vastes horizons, le sel des sources, les clochers, les mains au travail, les visages d’hier et d’aujourd’hui nous racontent un enchantement humain et des rêves d’ours.

Les photos et le texte d’Adrien et de Jean-Baptiste évoquent le Béarn et le monde avec modestie au-delà de ce qui est. Ce livre est là pour ça, pour aimer son pays, ceux des autres et ne pas clore la discussion, pour continuer à se méfier des catégories de l’identité, des territoires décrétés et des conceptions essentialistes de la culture. Un chat sur un toit de tuiles mouillées se promène. Des palombes passent entre les mailles du filet.

Géant impassible et gardien solitaire, à sept kilomètres au large, dans cette zone mystérieuse où se forment et se déforment les bancs, où Michelet a vu "le mariage du fleuve et de l'Océan" , le phare de Cordouan est le seul phare de France à rester habité. Il a sauvé bien des navires aventurés dans les tourbillons de la Gironde. Cordouan collectionne tous les superlatifs : "Versailles de la mer" , plus ancien et plus beau phare de France, l'un des 10 plus élevés au monde avec ses 68 mètres de haut.

Site absolument unique, il offre une vue exceptionnelle sur la Gironde et les cotes royannaises et médocaines en récompense de l'ascension des 331 marches- 6 étages -qui mènent à la lanterne. Cent cinquante-neuf ans après avoir été déclaré "monument historique" , en même temps que Notre-Dame de Paris, ce qui en dit long sur la beauté de son architecture, il a été inscrit au "patrimoine mondial de l'Unesco" le 24 juillet 2021.

Le bassin d’Arcachon, c’est un monde fascinant aux multiples paysages, avec ses ports ostréicoles, ses plages de sable fin, sa forêt de pins, sa dune du Pilat, sa fameuse île aux oiseaux et ses cabanes Tchanquées. C’est dans ce cadre enchanteur et coloré que vivent ses dix villes et villages : Arcachon, La Teste-de-Buch, Gujan-Mestras, Le Teich, Biganos, Audenge, Lanton, Andernos-les-Bains, Arès et Lège-Cap-Ferret. Tous réservent de belles surprises.

Façonné autour de la pêche et de l’ostréiculture, le bassin d’Arcachon a su garder son authenticité au grès des vents et marées. Son microclimat fait le bonheur de ses habitants et des touristes qui peuvent ainsi profiter pleinement de ses paysages et de sa culture gasconne.A chaque saison, le bassin d’Arcachon propose de multiples activités, comme des balades en vélo, l’observation des oiseaux, des activités de détente, mais aussi sportives et ludiques, des dégustations d’huîtres, des sorties en bateau, des moments festifs et de partage. Il offre aussi le plaisir de se balader entre terre et mer, et découvrir un patrimoine architectural et naturel exceptionnel et préservé. Il vit toute l’année grâce à ses habitants, ses ostréiculteurs et pêcheurs, un important tissu associatif, des commerçants et acteurs économiques dynamiques, des professionnels du tourisme solidaires, sans oublier les vacanciers de passage, les “Estrangeys” comme on dit ici.Le bassin d’Arcachon recèle de merveilles, connues et moins connues, que je vous invite à découvrir grâce à cette petite balade photographique, un concentré en images de mes coups de cœur.

Paru en deux livraisons dans La Revue des deux mondes en 1862, le littoral de la France de Elisée Reclus ne fut jamais publié en livre. Cette injustice est désormais réparée. Dans cette étude, Elisée RECLUS, géographe d'exception comme le qualifie Mme Béatrice GIBLIN, directrice de la revue Hérodote qui lui a consacré une thèse, il étudie le littoral aquitain de l'embouchure de la Gironde et la péninsule de Grave aux landes de Born et du Marensin.Elisée RECLUS, géographe libertaire, est entre autres, l'auteur, au début 19ème siècle, de deux très grands livres : l'Homme et la Terre et La Nouvelle Géographie Universelle. Il est bien méconnu aujourd'hui, mais il était alors très célèbre, non seulement en France d'où pourtant il avait été proscrit après la Commune, mais aussi à l'étranger. Ses ouvrages étaient traduits en plusieurs langues... Sa réputation dépassait largement les milieux scientifiques et il était lu par un très large public ; ses écrits, publiés à plusieurs milliers d'exemplaires, paraissaient chaque semaine sous forme de fascicules.C'est que sa géographie n'était pas fastidieuse nomenclature ; il faisait découvrir le monde, décrivait les pays étrangers ; il parlait des rapports des hommes avec la nature mais aussi de leurs luttes pour le progrès et pour la liberté. Son oeuvre est aujourd'hui est à peu près totalement oubliée. Evidemment le monde a bien changé depuis qu'il a écrit sa Nouvelle Géographie universelle mais sa démarche reste exemplaire et l'ampleur de sa conception de la géographie dépasse encore largement celle de la plupart des géographes d'aujourd'hui.Ses questionnements, surtout, sont plus que jamais à l'ordre du jour.

Nulle époque de l'histoire bordelaise ne fut plus brillante que le XVIIIe siècle : son «siècle d'or» , grâce au commerce des Antilles et à la redistribution des denrées en Europe. Au fur et à mesure que l'on avance dans le siècle, la vie quotidienne bordelaise en porte davantage les traces, qu'il s'agisse de l'activité du port ou de la croissance de la ville qui se transforme en une cité de pierre blanche. A travers les foires et les fêtes qui viennent animer la ville, ces impressions se concrétisent dans ces pages en une foule d'images qui témoignent du dynamisme bordelais. La plupart proviennent de sources inédites. Une large place est également faite au petit peuple, à sa vie difficile et souvent pittoresque, au monde du travail et à ses conflits. Ainsi se complètent l'éclat du grand négoce, les fortunes des parlementaires, ces seigneurs des vignes, et la complexité d'une population urbaine où ce que l'on peut déjà appeler «les classes moyennes» joue un grand rôle. Cette vie quotidienne est donc aussi, au sens plein du terme, un livre d'histoire sociale.

Tout le monde (ou presque) connaît le vin de Bordeaux. Beaucoup s'en délectent. Mais son image est aujourd'hui écornée, en tout cas contrastée. Les grandes fortunes, françaises et étrangères, ont fait main basse sur les grands crus, symboles de réussite et de luxe ; le reste du vignoble est à la peine, décrié par les "modernes" avides de nouveautés et "écologiquement vigilants", et menacé par des vignobles de plus en plus nombreux.D'où des incertitudes, voire des inquiétudes. La concurrence, fût-elle mondialisée, ne devrait guère inquiéter à Bordeaux où le vignoble, inséparable du port, fut d'emblée ouvert à des contrées éloignées. De plus, un retour sur le passé montre aisément que l'histoire du vin en Gironde connut autant de périodes difficiles que d'âges d'or, aussi formidables qu'aient été ces derniers. En s'appuyant sur les travaux d'historiens, toujours plus nombreux, ce livre retrace une histoire du vin de Bordeaux — des vins en fait — que l'on est toujours prompt à oublier, volontairement ou non.Puisse-t-il ainsi aider à comprendre la situation présente et les défis du futur, et, pourquoi pas, permettre à tous de mieux apprécier (avec modération) les formidables bouteilles du Médoc, de Saint-Emilion ou des Graves...

Bordeaux est à la mode et cet engouement est mérité. « La belle endormie » est devenue attractive et « cool ». Bordeaux ne se réduit plus à son vin : réconciliée avec cette Garonne qui à bien des égards l’a faite, la ville séduit à nouveau.Ce nouveau livre sur Bordeaux a plusieurs ambitions :- proposer, en peu de pages, une synthèse des recherches les plus récentes sur la capitale de l’Aquitaine ;- rappeler combien elle fut brillante à l’époque d’Ausone, d’Aliénor ou de Montesquieu ; mais souligner aussi ses paradoxes : tantôt romaine, anglaise ou finalement française… esclavagiste ou révolutionnaire… port sans marins…- inventorier les lieux emblématiques du brillant passé de la ville, classée au Patrimoine mondial de l’Humanité depuis 2007, et devenue Bordeaux Métropole.

Depuis juin 2007, Bordeaux est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Le défi, relevé, était de « souligner l’originalité de Bordeaux, port de la lune, tant du point de vue de son histoire et de son économie due notamment à son statut de capitales économique du vin et sa situation portuaire, que de l’élégance et l’homogénéité de son architecture classique et néoclassique. Sa réputation de ville active, négociante et cosmopolite n’est effectivement concurrencée que par la réputation de son urbanisme unique imprégnée de la culture classique du siècle des Lumières ».

Quand on évoque Bordeaux, on évoque le Burdigala romain, minuscule à l’aune de nos critères contemporains, que la métropole qui excède aujourd’hui largement la ville éponyme. Bordeaux c’est d’abor la ville du vin éponyme mondialement connu. La ville a connu a son apogée au XVIIIe siècle mais Bordeaux a joué à plusieurs reprises un rôle non négligeable dans une Histoire plus vase, celle de la France et de l’Angleterre, voire du monde : carrefour commercial essentiel de l’Empire romain, fief anglais sis sur le territoire de France, ville éclatante du XVIIIe siècle grâce à ses navires traversant les océans

Cette « Petite histoire de la Gironde » est une synthèse de l’histoire de ce département qui porte le nom de l’estuaire de la Garonne, bien qu’il doive le partager en partie avec le département voisin de la Charente Maritime. L’axe essentiel en est la Garonne. Nous y reconnaissons neuf « pays » ou régions : le Médoc, les landes de Bordeaux, le Buch, le Sauternais et le Bazadais sur la rive gauche, l’Entre-deux-mers, le Libournais, la Double et le Blayais, sur la rive droite.

Le territoire girondin est des plus changeants, passant de la péninsule médocaine à la presqu’île, du littoral soumis aux attaques de la mer à la fixation des dunes toujours secouées par les vents, du marais landais à la forêt de pins, des fromentaux aux vignobles, sous la haute garde de Bordeaux, mais sans jamais régler l’instabilité des courants d’estuaires et des « passes », du Bassin d’Arcachon...L’auteur nous fait vivre les changements qui ont fait passer ce département :• du territoire du vide au trop plein touristique,• des troupes vendangeuses à la machine,• du port en rivière au désamour portuaire…• de l’Age de pierres à l’époque actuelle quand Paris « descend » en province.

Gérard Cazau était correspondant pour La France et Sud Ouest pendant les années 60 à Andernos. Chaque jour, il photographiait le quotidien du bassin d'Arcachon au temps des pinasses et des derniers résiniers. À travers sa vision humaniste, il saisit un monde en transition et nous offre un remarquable témoignage de son temps.

Pierre Planté, par les photos de son grand-père et la parole des témoins rencontrés, nous révèle aujourd'hui ces moments oubliés. Coquilles, embruns, mailles, nageoires, sable, terre, lumières sont les ponctuations de cette histoire en noir et blanc.

« Un guide irrévérencieux et drôle sur la cité bordelaise »

Après le Pays basque, Le guide idéal s’exporte en Gironde : du bassin d’Arcachon jusqu’aux vignobles bordelais. Avec ce guide facétieux et pratique, vous saisirez toutes les subtilités de la mentalité bordelaise et éviterez ainsi les écueils qui vous laisseraient, faute de clés, devant les portes closes de la cité classée au Patrimoine mondial de l’Unesco.

Le guide idéal intéressera aussi les Bordelais eux-mêmes avec ses bonnes adresses & astuces, contées avec la même verve journalistique que Christophe Berliocchi avait mise dans son guide du Pays basque. L’auteur a bénéficié de l’aide de la blogueuse Camille Dufau.

Fondée au XIXe siècle, alors que la vogue des bains de mer, dont on a découvert les propriétés curatives, connaît un grand développement, Arcachon, en quelques décennies, devient une ville balnéaire majeure de la côte atlantique. De 1862 à 1865, est construite la « ville d'hiver » sous l'impulsion des frères Pereire, où une clientèle aisée en provenance de toute l'Europe vient se prémunir des ardeurs de l'hiver.

Une parure monumentale aux inspirations multiples donne peu à peu son visage à la ville : une touche exotique, au milieu d'immeubles cossus et de villas balnéaires qui utilisent une large palette de styles architecturaux. Plus tard, Arcachon devient « la ville aux quatre saisons » : à la Ville d'Hiver, viennent s'ajouter une « Ville de Printemps », une « Ville d'Été » et une « Ville d'Automne ». Récemment, en 2012, le centre ville a fait l'objet d'une réhabilitation, caractérisée notamment par la création d'une nouvelle place nommée place des Marquises. A travers une approche historique, puis une analyse stylistique et architecturale du patrimoine arcachonnais, cet ouvrage, largement illustré, permet au lecteur une approche tout à la fois cultivée et touristique de la ville.

Le Bassin d'Arcachon attire chaque année des milliers de visiteurs qui viennent découvrir ses beautés naturelles. Ce livre a pour but de faire progresser les connaissances des passionnés du bassin, d'identifier, mois par mois, les espèces animales et végétales.

Dans son Journal, Félix Arnaudin évoque ses interminables traques au lièvre, à la palombe, aux canards, etc. Assez vite, il fait état d’un projet d’un livre sur la chasse et la faune. Ce livre ne sera jamais écrit mais il nous en reste de multiples fragments qui nous donnent une idée précise de ce qu’était la faune dans les Landes à la fin du XIXe siècle.

Plus d’un siècle plus tard, la photographie animalière est devenue une des branches de la photographie, pratiquée par des professionnels et de nombreux amateurs, activité particulièrement chronophage à laquelle Jean-Philippe et Cyrille Audinet consacrent une grande partie de leur temps dans les Landes de Gascogne

Dans ce pays, le paysage, l’occupation et les pratiques humaines ayant largement évolué, la faune a évidemment également changé. C’est ce double mouvement qui est à l’origine de ce livre : qu’est-ce qui a évolué d’un point de vue de la faune entre les années 1875-1920, et 2000- 2020 ? Et qu’est-ce qui a évolué parallèlement d’un point de vue de la photographie ? Quel est le statut de la faune sauvage dans ce pays particulièrement anthropisé (la plus grande forêt industrielle d’Europe) ? Pour évoquer ce double mouvement, ce livre évoque les mêmes territoires, en gros, que celui de la Grande-Lande arnaudinienne. Il comporte, outre un texte d’introduction sur Arnaudin et la lande d’aujourd’hui (Eric Audinet), un second texte d’un spécialiste de la faune landaise (Jérôme Fouert). A la suite de ces deux textes, seront présentées les images des photographes Jean-Philippe et Cyrille Audinet, longuement légendées.

Fruit de près de 25 ans de travail, ce beau livre est un véritable hommage à la Grande Lande et à la vie sauvage.

Revisiter Bordeaux à quatorze moments significatifs de son histoire, tel est le but de ces Portraits. Le lecteur est invité à arpenter ses rues, à découvrir ses monuments, à participer à ses turbulences, à comprendre ses faiblesses et à admirer ses succès, bref, à s’immerger pour un instant dans la vie d’une cité aux réussites inégales qui s’est néanmoins imposée depuis l’Antiquité comme une grande capitale au destin changeant selon les époques, mais toujours original. Cet arrêt dans le temps et sur image vise à retrouver les réalités de la ville telle que les contemporains ont pu les vivre : des contraintes matérielles les plus ordinaires aux plus belles manifestations de l’art et de l’esprit. Une telle approche explique le choix d’une recherche poussée de la documentation iconographique sur laquelle vient se greffer un texte qui l’explicite plus qu’il ne la commente.

Ce livre de documents et d’images se veut destiné à un large public, des Bordelais curieux d’en savoir plus jusqu’aux visiteurs parfois venus de loin, désireux d’emporter un souvenir documenté et agréable des monuments et du paysage urbain qu’ils auront courtement découverts. Simultanément publié en français et en anglais.

Un nouveau topoguide pour les Pyrénées béarnaises édité par l'office de tourisme Haut-Béarn avec 27 circuits faciles à découvrir toute l'année.

Découvrez dans ce guide illustré et ludique, un répertoire de 37 balades familiales dans les Pyrénées béarnaises. Un indispensable pour visiter la région ou pour planifier d’agréables sorties en famille.

Un nouveau topoguide pour les Pyrénées béarnaises ! Après avoir réalisé les topofiches telechargeables sur le site www. pyrenees-bearnaises.com, la CCHB et l’OTHB travaillent conjointement à l’édition d’un topoguide. Cet ouvrage comportera 37 balades et randonnées reparties sur les vallées et le piémont. Le fil rouge de cette édition est la balade facile, toute l’année. Ce positionnement , fruit d’une étude comparative avec les ouvrages existants sur le marché est une réponse à la demande de nos clientèles . Ce topoguide sera en vente dans les bureaux d’accueil des offices, chez nos partenaires de proximité . Il sera aussi diffusé dans lesrayons des grandes enseignes de la région dans l’objectif de promouvoir notre destination.

Un guide réalisé par l’Office de tourisme Haut-Béarn. Pour en savoir plus sur ses actions, RDV sur : wwwpyrenees-bearnaises.com

Nous avons la chance de vivre avec les Pyrénées en toile de fond, un arrière plan magistral qui nous donne envie de partir en randonnée dès que le temps s'y prête ! Néanmoins il faut prévoir un temps de trajet non négligeable et en famille, il est parfois difficile de s'organiser pour partir en expédition montagnarde au dernier moment. Raymond Ratio, amoureux de sa région, a eu l'idée de créer ce petit guide de balades en famille à moins d'1h de Pau afin de vous proposer des sorties faciles que l'on peut organiser au pied levé lorsqu'on a envie de prendre l'air avec les enfants. Découvrez dans ce livre 25 itinéraires faciles, le plus souvent sous forme de boucle pour partager avec vos enfants le plaisir de la marche et leur faire découvrir la variété des paysages béarnais. 25 idées de sorties originales à faire près de Pau agrémentés de jeux et de défis pour motiver vos enfants à terminer la balade.

Les passionnés d'escalade vont être ravis ! Voici la réédition du topo d'ARUDY : un guide unique, clair et bien illustré pour recevoir une énergie en 220 voies ! Retrouvez les voies des secteurs : Turon / Défilé / GSIP / Refuge /Sesto / Faces Nord / Humanoïdes / La Fonderie / Petits secteurs. Une nouvelle édition MAJ en collaboration avec l'équipe de la Maison de la Montagne.

Un guide d'escalade indispensable pour profiter des voies en Vallée d'Aspe !

LES VOIES DE 19 SECTEURS dont : Mâture Lourdios Pène d’Udapet Pont d’Escot Falaise d’Urdos Esquit Piedras Rojas…

Plus de 420 voies décrites, de 3b à 8c+ et jusqu’à 450 m de hauteur. Le topo de la Mâture réactualisé avec maintenant la totalité des secteurs de la vallée d’Aspe. En collaboration avec l'équipe de la Maison de la Montagne.

Un très bel ouvrage qui magnifie la faune et les paysages du milieu montagnard à travers des photographies qui jouent beaucoup sur l’esthétique, le tout couché sur un papier de très haute qualité et un façonnage haut de gamme.

Préface de Vincent Munier.

Le photographe :Laurent Nédélec photographie les Pyrénées sauvages depuis plus de 30 ans. Déjà auteur de 4 ouvrages, il collabore régulièrement avec des magazines spécialisés (Terre Sauvage, Pyrénées magazine…). Il est également vidéaste et est co-auteur de la sériedocumentaire «Les Pyrénées secrètes» diffusée sur Arte en 2023. Garde au Parc National des Pyrénées, Laurent habite les Hautes-Pyrénées.